Avec La Vénus à la fourrure s’ouvre un univers de phantasmes et de suspens, rempli de femmes de pierre, de travestis, de gestes punisseurs, de crucifixions et même de châtiments pour des fautes non encore commises. L’esprit artistique fait de chaque pose une œuvre d’art, l’esprit juridique y noue de rigoureux contrats entre la victime et le bourreau. Gilles Deleuze montre que le masochisme n’est ni le contraire ni le complément du sadisme, mais un monde à part, avec d’autres techniques et d’autres effets.
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